De la culpabilité de la mère

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martin lit

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Nous y sommes. Tout à l’heure, je m’envole pour New York avec mon amoureux. Et à notre retour, ce sera la rentrée pour tout le monde. Moi, je retourne au bureau retrouver mes collègues comme au bon vieux temps, tandis que mon fils commencera doucement l’adaptation avec sa « nounou ». Ces dernières semaines, j’ai dépensé une énergie folle à jongler entre mon job, mes responsabilités d’adulte et l’envie de vouloir passer du temps avec mon fils. Avec ce sentiment parfois de ne jamais réussir à trouver le juste équilibre entre ces différents rôles de maman, de femme, d’amoureuse, d’amie… Je me demande si nous les mères, nous ne sommes pas condamnées à culpabiliser chaque jour et nous remettre en question sur nos capacités à gérer toutes ces choses de la vie.

Je regrette déjà nos journées en tête à tête avec Martin. Je regrette nos longues promenades au soleil et ces après-midi au parc, tous les deux allongés sous les arbres à regarder le ciel et observer le monde. Bien sûr, il y en aura d’autres. Mais ils seront certainement plus rares, ce qui les rendra d’autant plus précieux à mes yeux et me rappelle ô combien j’ai été chanceuse de pouvoir me consacrer à lui les premiers mois de sa vie.

C’est encore une page qui se tourne dans ma vie. Cette semaine, j’ai rangé l’équivalent de 8 mois de vêtements de bébé dans un grand carton. Je n’avais jamais vraiment pris la peine de le faire, probablement le refus d’admettre que le temps passe (bien trop vite) ni l’envie de faire éclater la petite bulle de bonheur insouciant dans laquelle lui et moi, nous nous trouvions. Ah, la nostalgie… J’ai l’impression tous les jours de partir au combat comme un petit soldat pour lutter contre ce sentiment qui m’envahit toute entière. C’est la gorge serrée que j’ai plié ses premiers pyjamas, ses brassières en laine et son bonnet de naissance pour les ranger, sans vraiment savoir quand ils pourront resservir… Triste sensation de se dire que le moment magique de sa naissance appartient déjà au passé. Mais aussi le bonheur de savoir que nous n’en sommes qu’au début de notre aventure, lui et moi.

Pourtant, ça n’a pas été facile tous les jours, ces 8 mois à la maison. J’ai souvent ressenti, lasse, cette irrépressible envie de fuir en laissant tout le monde derrière moi sans me retourner. Ne plus vouloir m’occuper de mon fils ni de personne, si ce n’est de moi, et encore… J’imagine que ça puisse choquer, mais gérer un bébé à temps plein tout en essayant de garder ses activités professionnelles, c’est loin d’être évident. C’est stressant, usant, éreintant. Je l’ai déjà dit, mais vraiment je suis admirative des ces mères au foyer qui semblent s’épanouir dans ce rôle et gèrent leur famille d’une main de maître. Moi, je sais maintenant que je ne suis pas faite pour ça.

Vous est-il déjà arrivé, à vous les mères, de vous dire  « je ne suis pas sûre d’aimer mon enfant comme je le devrais » avec ce sentiment horrible d’être une maman indigne parce qu’à un moment donné, fatiguée, vous n’avez plus envie d’assumer vos responsabilités ? Je vous le demande, parce que moi, je l’ai vécu. J’ai connu ces moments de doutes et cette envie de retrouver ma vie insouciante d’avant juste pour quelques heures. Et je n’ai pas su vers qui me tourner pour en parler, parce qu’une mère, ça doit toujours rester digne et courageuse. Je sais bien que certaines vivent des drames mille fois plus importants (un enfant malade, sans doute le pire qui puisse arriver) mais sur une échelle de difficulté moindre, je reste persuadée qu’on est nombreuses à se sentir parfois en détresse, et qu’on ne sait malheureusement pas toujours comment se rassurer.

Il est en vacances depuis trois jours chez ses grand-parents. Son lit est vide, son rire ne résonne plus dans mon salon, il n’arrache plus ma plante pour la manger, il ne tire plus la queue du chat, et je me rends compte à quel point il me manque. Il m’aura fallu voir s’éloigner le train qui l’emmenait loin de moi pour réaliser combien je l’aime, mon fils. Bien sûr que je l’aime. Bien sûr que je le savais. Maintenant je m’en veux d’avoir pu en douter. Eternelle culpabilité de la mère qui ne s’arrête jamais, même quand tout va bien ! :)

(je serai donc à New York les deux prochaines semaines, je ne pense pas pouvoir écrire ici avant mon retour mais je voulais tout de même vous prévenir qu’il y aura sans doute un – voire peut-être deux – articles sponsorisés dont j’ai programmé la publication… C’est quelque chose que je n’avais jamais fait auparavant, mais que j’ai accepté parce que les campagnes proposées concernaient directement mon fils et ma ligne éditoriale. Je ne sais pas s’il y en aura d’autres, c’est un sujet sur lequel je reviendrai peut-être prochainement, en attendant, portez vous bien !)

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Anne

Je m'appelle Anne et je suis maman d'un petit garçon de 3 ans. Parisienne depuis dix ans, je vis sur les hauteurs de Montmartre. Dans la vie je suis aussi directrice éditorial du site hellocoton. Vous pouvez me suivre sur Twitter, Pinterest, Hellocoton et Facebook.

38 Commentaires

  1. Culpabiliser est propre aux mamans dignes de ce nom, je crois. Nous culpabilisons parce que nous voulons le meilleur pour nos enfants, tout en sachant que nous ne sommes que des êtres humains avec nos défauts et nos faiblesses ! Mais bien sûr que nous aimons ces petits bouts de nous ! A la folie, même !

    Prends du bon temps avec ton amoureux et tu verras que les retrouvailles avec Martin n’en seront que plus douces !

  2. Ces quelques lignes me parlent beaucoup. Tout comme toi j’ai ressenti cette envie de fuir et de tout abandonner, j’ai culpabilisé, j’ai eu envie de retrouver ma vie d’avant… Et j’ai culpabilisé aussi. Ces quelques ligne j’aurais pu les écrire car aujourd’hui je reprends le travail. Aujourd’hui je ne suis plus qu’une mère avec son bébé je suis aussi une mère au travail. C’est 11 mois auront été riche en émotions et je vais pleine de nostalgie ce soir. Je le sais ! Bon voyage en amoureux profitez bien !

  3. Je crois avoir ressenti un tel sentiment au début, parce que je ne me sentais peut être pas capable de m’ occuper de deux enfants a la fois, parce que j’ étais débordée. Petit a petit, tout s’ est mis en place, même si je culpabilise encore.
    Un tres joli article qui m’a arraché une larmichette, et je ne peux même plus mettre ça sur le compte des hormones
    Bon voyage…

  4. J’ai découvert le rôle de maman à plein temps … avec ses joies et … le début de la fin de vie sociale.

  5. Un très bel article, très touchant et sincère…Je ne suis pas encore maman, mais malgré tout, ton article m’a touché et je sais que le jour où j’aurai la chance d’être maman, je ressentierai le même sentiment de culpabilité…Profites bien de ton séjour new yorkais!

  6. Très joli billet :) Une maman n’est pas infaillible, et ton honnêteté donnera surement du courage à des jeunes mamans ! Profites bien de NYC !

  7. Te dire que j’ai les yeux remplis de larme rien qu’en lisant tes mots car je connais par coeur cette sensation de culpabilité que tu décris.
    Cette ambivalence qui nous habite, l’envie de passer la journée ailleurs, seule et de profiter de quelques instants pour soi sans finalement en être capable..sans culpabiliser, regarder 50 fois sa montre et se demander ce qu’il fera pendant ces dizaines de minutes..
    Passes un bon séjour avec ton amoureux!

  8. Oh oui, la culpabilité, c’est mon lot quotidien aussi.
    Je me suis souvent demandé si j’aimais assez Mouflette, si cette envie de m’en aller loi était normale. Si ce sentiment de bien être quand elle n’était pas là ne voulait pas dire que j’étais un monstre? Je le ressens moins avec MissCouette (ce qui augmente d’autant ma culpabilité envers Mouflette) parce que c’est un bébé vraiment facile.
    Mais cette première semaine loin d’elle m’a fait du bien. Et je m’en suis un peu voulu…

    Bref, essaye de profiter à fond de ces 2 semaines.
    Je t’avoue que les premiers jours, j’en oubliais même son existence par moment.
    Mais au bout d’une semaine, le manque est devenu criant. Quand on a cru devoir rester sur l’île (A cause d’Irène) j’ai un peu paniqué, elles me manquaient trop, mes deux filles chéries.

    Là, Mouflette vient de rentrer à l’école et mon coeur s’est serré parce que ses amies et elles ne sont pas dans la même classe cette année. J’ai vu son regard s’embrumer, et le mien avec.
    Pas de doute, je l’aime et serais prête à tout pour elle!
    Mais le rôle de maman est très ambivalent. On peut les aimer et avoir envie de se retrouver soi, un peu. :)

  9. maternité et culpabilité sont 2 mots synonymes…. en devenant mère, nous devenons les championnes de la culpabilité….
    Profite bien de tes vacances en amoureux, ton petit bonhomme sera heureux de retrouver sa maman épanouie, bien dans ses baskets et heureuse!!!!

    Et vive les mamans jongleuses!!!

  10. C’est encore tabou de dire que par moments, on aimerait fuir notre vie, les responsabilités et ne penser qu’à nous. Je suis aussi restée 8 mois à la maison avec mon fils et je n’avais qu’une hâte à la fin, reprendre le boulot. Besoin d’avoir une vie d’adulte, une vie sociable mais parallèlement que c’est dur de devoir jongler avec no différents rôles !
    Enfin, tout cela ne nous empêche pas d’être de supers mamans qui aiment leurs enfants plus que tout au monde ;)

  11. Hello… Tu vois je ne pense pas qu’il y ai de juste équilibre, ou alors, moi non plus je ne l’ai pas trouvé. Et si quelqu’un à la recette, je suis preneuse !

    Là je culpabilise d’en avoir trop fait, de ne pas avoir laissé à ma fille un monde dans lequel j’aurai dû m’éloigner juste un peu. Maman à plein temps je cumule aussi mon rôle de mère, d’épouse, de working mum at home. Et là, avec la rentrée tout est bouleversé. Comme si la société m’avait un peu volé ma vie de maman. On se sent toute coupable à un moment où à un autre, c’est ça aussi aimer son enfant, c’est une remise en question, une introspection qui veut que l’on se donne à fond, et sur laquelle l’amour ne transige jamais. Et parce que les situations, les mamans, et les enfants sont tous différents, chaque bonne maman passent forcément par des virages de doutes.

  12. Ah la culpabilité… Même au bout de 7 ans, elle est toujours là.
    Il y a toujours un moment où elle s’invite dans le quotidien.
    Quoique là, je ne culpabilise pas de les mettre à la cantine dès le 1er jour :-P
    Profites bien de NewYork ;) En plus vous y allez pour les 10 ans du 11 septembre!

  13. La culpabilité je la ressens depuis le début de ma grossesse ! Enceinte de 7 mois et quelques jours je crois que de toute ma vie je me suis rarement sentie aussi souvent « coupable » : avoir eu très fortement envie d’ un garçon alors que j’attends une petite fille, ne pas toujours être à l’écoute de mon corps (gérer une entreprise + une grossesse, pas toujours compatible !), devoir trouver une solution pour faire garder ma petite fille dès ses 3 mois, me demander si je vais être assez patiente, si je ne vais pas m’en lasser, bref, je culpabilise déjà pour beaucoup de choses !
    Evidemment je sais que cela va être pire après, une fois qu’elle sera là, mais après tout, je crois ce qu’on me dit : si tu es épanouie ton bébé le sera aussi …

    Profitez bien de ces vacances tous les 2 pendant que Martin Chou se fait chouchouter !

  14. La photo est génialissime ^^ ambiance 100% sieste pour le coquinou : )
    Moi je me demande souvent, en tonton, si je gâte assez mes deux pti neveux… : )
    Bon trip new-yorkais, et si tu débarques au Sofitel, ne sors pas de la douche à poil, ça craint ^^
    Bon voyage !

  15. Non je ne culpabilise plus. J’ai accepté de ne pas être parfaite ni partout à la fois. Je fais juste mon possible. Me délester de la culpabilité m’aide à en faire plus, justement. Culpabiliser, ça me freine. C’est tout bénéf de s’en dégager.

  16. Je comprends ce que tu veux dire mais je pense que je n’arriverais pas vraiment à me rendre compte de l’ampleur de cette culpabilité tant que je n’aurais pas été maman moi-même…
    En attendant, profite bien de ton voyage avec ton amoureux pour recharger les batteries et penser à toi !! ;)

  17. T’inquiète pas, on est toutes pareil ! Normal de culpabiliser, normal d’avoir parfois envie de fuir, normal d’avoir du mal à jongler entre vie pro, vie de maman, vie de couple et vie sociale… et surtout normal d’avoir le coeur serré parce que ton p’tit bout n’est pas là.
    Mais pour moi, un enfant est heureux si ses parents sont heureux, alors fait tout pour être épanouie de ton côté et ton fils le ressentira, il ne te tiendra certainement pas rigueur d’avoir repris le boulot ou d’être parti à NY avec ton chéri !
    Profitez-en bien, les retrouvailles seront géniales !!! ;-)

  18. La culpabilité… On accouche aussi d’elle à la naissance du premier enfant. Et depuis, elle nous accompagne, comme nous accompagnons nos petits.

  19. Très beau billet, tellement vrai! J’ai ressenti exactement la même chose que toi. Moi qui ai toujours travaillé auparavant, j’ai décidé de prendre un an de congé pour m’occuper de mon premier enfant. Cela fait maintenant 9 mois que je m’occupe de lui. Je l’aime plus que tout, mais malgré tout, j’ai parfois envie egalement de retrouver ma vie d’avant pour quelques heures ou quelques jours. Ne pas avoir d’horaires, avoir l’esprit libre…Malgré tout, je suis sure que la reprise du boulot sera extrèmement difficile et que je culpabiliserai de le laisser pour aller travailler et retrouver une vie sociale !

  20. Je rêve souvent de mon futur enfant… Je l’imagine, je l’idéalise, et je vois très bien cette grosse peur qui dominera ma relation avec lui, celle qui m’effraie et me fais toujours reculer davantage l’envie d’être mère… J’espère que la culpabilité ne sera pas aussi importante que dans mon imagination, parce que pour le moment je me vois en une mère ultra-angoissée…

  21. Même si je ne l’ai pas vécu encore, tes sentiments ne me semblent pas inhumains, loin de là. Et je pense que vous avez raison de vous ménager une petite parenthèse de bonheur à 2, avant de revenir encore plus forts à 3. Ce n’est pas évident non plus de ne pas oublier son couple et son statut de femme, de ne pas le faire disparaitre face à son nouveau statut de mère.
    En tous les cas, croquez la Big Apple à pleines dents, c’est l’une des plus belles saisons, à mon avis, pour visiter NY.
    Bises

  22. Comme je te comprends! J’ai connu ça, les mois a la maison en essayant de continuer mon travail en même temps. Puis le retour au travail, difficile, tres difficile.
    Et puis on s’habitue on profite autrement…c’est la vie…Bisous profites bien ;-)

  23. ohlala t’inquiètes pas je suis passée par là, pigiste at home avec bébé comme collègue de bureau ;-) ! Mission impossible !! Je l’adore mais mettre de la distance, la bonne, permet de mieux nous aimer et de nous laisser respirer, lui pour grandir, moi pour m’oxygéner. Finalement on est toutes pareilles… des générations de mamans n’ont pas dit toute la vérité pour ménager leur fille (on va dire…) ou avoir des petits-enfants (LE traquenard) ;-))) !!
    Moi je dis « dehors la culpabilité ! », tu verras s’il te dit « désolée maman » quand ton petit bout voudra t’imposer, à longueur de journée, sa volonté ;-) :-) !

  24. Je ne suis pas encore maman et j’ai deja peur quand je le serai d’en avoir parfois marre de mon bebe et de vouloir le remettre d’ou il vient ;-) Ca n’a pas l’air facile tous les jours d’etre maman mais ca a l’air aussi tellement bien…A suivre…
    Autrement profitez bien de vos vacances, deux semaines a NY c’est vraiment genial, j’ai hate de te lire a ton retour.

  25. Ah lala, je savais rien, qu’en lisant le titre que j’allais forçément trouver dans ce billets des sentiments partagés!La culpabilité, c’est tous les jours qu’elles nous touchent, nous les mamans, et vraiment je ne pensais pas que ce serait à ce point, même quand ma mère me répétait « tu verras quand tu y seras ».Maintenant je comprends!culpabiliser de prendre un peu de temps pour soi, culpabiliser de faire comme si ou ça, culpabiliser car penser qu’on fait mal pour son enfant…je crois que tous les jours nous culpabilisons pour telle ou telle chose, et je me demande bien pourquoi, les hommes n’en ont pas la moindre trace, de cette culpabilité???sont ils si détachés que ca de leur enfant?je ne pense pas, mais je n’ai pas trouvé leur solution…Profite en pour te requinquer, NYC c’est splendide, j’attends plein de photos à ton retour!!!profitez bien ensemble de ce merveilleux voyage, et du temps à deux.Ton fils sera heureux de te retrouver, en pleine forme, pour repartir de bons pieds pour une année!!bises!

  26. Bonnes vacances à tous les deux : comme ça a été dit dans les commentaires, je pense que Martin-chou a aussi envie que sa maman soit heureuse pour être bien, donc profite et dis toi que tu le fais aussi un peu pour lui ;)

  27. Je réponds un peu tard à vos commentaires (retour un peu épique de NYC, peut-être que je vous raconterai tout ça… !) mais je voulais quand même vous dire que messages d’encouragements m’ont beaucoup touchée, et qu’il est toujours rassurant de voir que nos sentiments sont bien souvent partagés.

  28. Je ne suis pas Maman et même pas encore à proprement dit une femme, mais je peux tout à fait admettre ce que tu ressens, et c’est pas à mon sens indigne que de vouloir souffler un peu, avoir des doutes
    Bon courage pour tous les moments difficiles que tu rencontreras et joyeux bonheur pour tous les instants merveilleux que ton fils te donneras!
    IRIS (et LUCIEN)

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  30. Très bel article où tu t’en doutes, je me retrouve beaucoup.
    Et je me dis qu’au fond s’interroger, se remettre en questions, c’est peut être la preuve qu’on est des mères plutôt pas mal ;)
    Bon courage à toi !

  31. Fender1971 a écrit

    C’est en fouinant sur le net à la recherche de quelques adresses de resto branchouille à Brooklyn que je suis tombée sur votre blog… Du coup j’ai lu tout vos posts sur La Grosse Pomme … Et le comble c’est que je m’envole en laissant derrière mois ma petite Lucie-Lou (6 mois tout juste) … La culpabilité me ronge même si ce voyage me porte 24/24 en ce moment… Et je vais profiter de mes 3 ados 12, 15 et 18 ans à fond à travers ce voyage… Voilà j’avais envie de vous l’écrire. Bravo pour les idées déco…

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